samedi 30 décembre 2017

Le module MACRON : un Macronyme



M A C R O N    
Module d'
Aide à la
Communication
Raisonnée
Oppressive et
Narrative

Les Français commencent à comprendre que Monsieur Macron n'est pas un président comme les autres, mais un dirigeant exclusivement consacré au bien-être des financiers, des chefs de grandes entreprises et en général du dernier centile (1) des plus hauts revenus en France.

Bien plus, selon les recherches les plus récentes de nos services de renseignement, il s'avère que sa présidence n'est pas du tout ordinaire, puisqu'elle réside en fait dans un système de gouvernement théorisé par un module d'organisation politique et médiatique nommé MACRON.

Lors d'un banal contrôle fiscal à la banque Rothschild – mené par erreur dans ces lieux feutrés habituellement à l'abri de telles insultes à la finance – des inspecteurs du fisc ont découvert, dans des archives bien protégées des regards plébéiens, une grande masse de documents décrivant des travaux menés à l'initiative du Medef construisant une méthode théorique et pratique pour instaurer un pouvoir politique au service de ses intérêts.

Ce système, décrivant par le menu les voies et moyens de parvenir au pouvoir, de s'y maintenir et d'y appliquer une politique ploutocratique, avait été nommé de l'acronyme MACRON, comme Module d'Aide à la Communication Raisonnée, Oppressive et Narrative. Le but en est clair : il s'agit, par une Communication médiatique soigneusement optimisée (Raisonnée), de raconter des histoires aux électeurs (Narrative) pour mieux les contraindre (Oppressive).

Nous voyons donc que, loin d'être un jeune homme sympathique et bavard, aimant les chiens et les pauvres, MACRON est une méthode qu'applique cette personne, sans doute un figurant un peu doué baptisé ainsi par simplification, destinée à enfumer les Français et à enrichir encore les plus chanceux d'entre eux.

Le roi est nu : nous savons maintenant que derrière cette façade de premier communiant grouillent les Medefiens les plus débauchants, les big bosses les plus licenciants et les financiers les plus dispendieux des deniers publics. Il est vrai que ce n'est qu'une confirmation.


Post-scriptum
Ce texte relève pour le moment de la pure fiction. Il ne prétend pas décrire une quelconque réalité même s'il reflète les effets bien réels de ses hypothèses.
Mais sait-on jamais.